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Mention : Sciences de la Vie (SV) – Parcours L3 : Sciences et Valorisation du Végétal (S2V)
Responsable : Fabienne DEDALDECHAMP
Le parcours « Sciences et Valorisation du Végétal » est intégré dans la licence Sciences de la Vie, notamment lors de la troisième année. Il permet d’acquérir des connaissances issues des sciences biologiques fondamentales (approches biochimiques, cellulaires, moléculaires et génétiques) et surtout des connaissances spécifiques sur les organismes végétaux, de l’échelle moléculaire à l’échelle de la plante. Au cours de la formation, tous les secteurs (fondamental ou appliqué) de la biologie végétale sont abordés : la botanique (biodiversité du monde végétal), le développement des plantes (structure, signalisation, régulation), la physiologie (fonctionnement, nutrition, développement et reproduction des plantes), la valorisation des plantes (biotechnologies, sélection amélioration) ainsi que l’écologie (plantes et milieux, impact des facteurs environnementaux). L’ensemble des concepts et des outils méthodologiques acquis au cours de la formation permet aux étudiants d’aborder la biologie végétale moderne et ses applications, en réponse à une problématique, avec une vision intégrée, recouvrant les principales échelles d’étude du monde végétal (cellule, plante, peuplement).
Les objectifs pédagogiques se basent sur des compétences ciblées autour de la pluridisciplinarité, la démarche expérimentale, et l’autonomie.
La biologie végétale moderne est une science multidisciplinaire nécessitant des approches issues de domaines variés des sciences biologiques. A côté des enseignements disciplinaires spécifiques au parcours PBV, les étudiants suivront donc des modules communs à d’autres parcours de la licence Sciences Technologies Santé, afin d’acquérir des connaissances et des compétences en biochimie, génétique, biologie cellulaire et moléculaire et écologie.
Les séances de travaux pratiques ont été conçues de manière à illustrer les enseignements théoriques par des démonstrations concrètes, tout en laissant une place importante à l’expérience et à la manipulation des différents outils nécessaires. L’importance de l’acquisition de la rigueur dans la démarche expérimentale (conception d’un protocole, réalisation de la manipulation, analyse critique des résultats obtenus et réalisation de compte-rendu d’expérimentation) sera mise en avant.
Des travaux personnels seront demandés aux étudiants à plusieurs reprises au cours de leur cursus. Ces travaux se feront sous forme de projets en autonomie, d’analyse de données expérimentales et de littérature scientifique en rapport avec les enseignements reçus, et sous forme d’un mémoire de stage au second semestre.
Cette formation permet aux étudiants de s’enrichir d’une expérience pré-professionnelle via la réalisation d’un stage de 1 à 3 mois en milieu professionnel. Les étudiants qui le souhaitent, ont la possibilité d’effectuer d’autres stages et/ou de bénéficier d’une mobilité à l’international.
Le parcours conduit aux débouchés accessibles avec le grade de Licence ou à une poursuite d’études par un Master de type fondamental ou professionnel spécialisé en Physiologie Végétale, en Biologie Cellulaire et Moléculaire Végétales, en Biotechnologies appliquées, en gestion des Agroressources et des Agrosystèmes. Il permet également l’intégration d’écoles d’ingénieurs spécialisées en Agronomie, en Horticulture ou en Biotechnologies.
Stage de 1 mois dans un laboratoire, une entreprise ou une association
Les étudiants de L3 S2V doivent obligatoirement effectuer un stage en milieu professionnel pour valider l’UE « projet de fin de licence » du semestre 6. L’objectif principal de ce stage est d’offrir une meilleure appréciation du milieu professionnel.
La durée minimale de ce stage est de 1 mois mais peut être prolongée jusqu’à 3 mois. La période du stage est généralement prévue à partir des congés de printemps.
Les étudiants qui le souhaitent peuvent effectuer ce stage à l’étranger.
Le projet de stage doit nécessairement être en adéquation avec la biologie végétale et doit recevoir l’approbation préalable du responsable de parcours. Une convention devra être signée entre l’université et l’organisme d’accueil avant le début du stage.
Les étudiants restituent une synthèse de leur stage via un rapport et une présentation orale devant un jury.